Second Life et vous : résultats du sondage.

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Devant l'ampleur du phénomène "Second Life", j'ai cherché à connaître la perception et les habitudes des lecteurs de My DataNews, via un sondage réalisé du 20 janvier 2007 au 27 février 2007.

Rappelons que Second Life est un univers virtuel fondé en mars 2002 par la société Linden Lab, qui permet aux particuliers comme aux entreprises de mener une seconde vie. Il est ainsi possible de changer de métier, bâtir un empire ou encore de de vivre une idylle virtuelle. Certaines entreprises y sont présentes, à l'instar de Reuters qui y a installé une agence de presse, de Toyota qui possède des boutiques ou encore de Lancôme, 1ère marque de cosmétiques de luxe désormais présente dans l'univers virtuel.

43 % d"entre vous avez visité l'univers virtuel de Second Life au moins une fois. La majorité y retourne soit régulièrement (17%), soit occasionnellement (18%), preuve que l'univers virtuel ne lasse pas. Une plus faible partie des lecteurs (8% de l'ensemble) ayant goûté au monde virtuel n'y retourneront pas.

Le sondage laisse à penser que le potentiel de développement est important puisque 23 % des lecteurs n'ont pas encore testé le jeu, mais ont l'intention de le faire prochainement.

Il est frappant de constater que 7 % seulement n'ont jamais entendu parlé de Second Life. Ce faible taux est révélateur du succès foudroyant que connaissent les jeux virtuels.

L'engouement est cependant à nuancer, puisque vous êtes tout de même 27 % à refuser d'essayer le jeu. Les commentaires associés aux votes mettent en avant le danger que représenterait ce type de jeu virtuel, en éloignant les hommes et les femmes des réalités et de leurs responsabilités. Il est vrai que ces jeux de rôles de plus en plus captivants peuvent agir comme une drogue. Vous admettez toutefois que Second Life présente un intérêt pour les entreprises, qui peuvent tester par exemple un nouveau produit dans le monde virtuel, avant de le lancer dans le monde réel.

Enfin, à l'approche des élections, il est intéressant de noter que certains candidats mènent aussi leur campagne dans Second Life.

A lire :

A découvrir : Désencyclopédie

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Vous appréciez Wikipédia ? Vous allez certainement adorer Désencyclopédie, l'encyclopédie collaborative et participative "écrite entièrement par des singes savants". Vous l'avez compris, il s'agit d'une contrefaçon très drôle, qui laisse néanmoins émerger quelques vérités.
Le look du site ressemble à s'y méprendre à celui de Wikipédia. J'ai ainsi trouvé la définition suivante du blog (extrait) :
"Un blog, aussi dit égotarium, est une forme moderne de crypto-journalisme où les gorets accompagnent l'actualité.
Le mot vient de la contraction des mots brailler (activité principale du blog) et log (journal d'un navire, en
anglais).
Si on compare un hebdo régulier au journal du capitaine, le blog serait les grondements des abrutis qui doivent nettoyer le pont du
bateau encore à cause de la merde que les hosties de goélands viennent d'y laisser, câlisse.

[modifier] On utilise les blogs pour:
Brailler de façon peu amusante des actualités
Brailler de façon peu amusante des banalités de
la vie de tous les jours
Brailler de façon peu amusante des amis que, jadis, l'on avait
Poster une liste de choses « à faire » à cause qu'on ne se souvient plus de notre adresse électronique.
Brailler seul. Très seul.
Se rassurer en constatant que d'autres braillent encore plus.
Se faire des amis.
Pourrir les forums de la plateforme.
Montrer à tout le monde que sa vie est inintéressante.
Etre social
Donner à son ordinateur les photos de sa super boum d'hier apres-midi!!!
Mettre la liste de ses courses
Pouvoir demander à tout le monde de mettre des commentaires! C'est hyper important t'vois...

[modifier] Atouts nécessaires pour être un bloggeur:
Un ego épouvantable.
Une opinion sur tout.
Aucun lectorat.
Une
orthographe calamiteuse.
Un QI avoisinant celui du
Hamster (toutes races confondues) "

A ne pas prendre au premier degré bien entendu !

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ILM (Information Lifecycle Management) : la synthèse.

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My DataNews fait le point sur le concept très en vogue de l’ILM, la gestion du cycle de vie de l’information.

Le concept
L’ILM est un concept récent lancé en 2003 par la société Legato, et repris par
EMC suite au rachat de Legato. L’objectif est de gérer de façon intelligente le cycle de vie de l’information - de la création à la destruction - en optimisant l’infrastructure et les moyens de stockage, tant d’un point de vue technique qu’économique.

La réflexion se fonde sur la croissance du volume de données que les entreprises ne parviennent plus à maîtriser. Les entreprises constatent en effet un taux annuel de croissance de l’information compris entre 30 % et 70 %, qui ralentit les applications essentielles. Si les données structurées (bases de données, ERP, datawarehouse..) sont relativement bien gérées, avec des systèmes d’archivage ad-hoc, la nécessité d'optimiser la gestion des données non structurées est plus récent. L'ILM adresse donc en priorité les problématiques du cycle de vie des données non structurées (bureautique, applications GED, pages WEB, messageries électronique,…).

Autre idée clé : la notion de valeur de l’information. Au fil du temps, la valeur des informations s'accroît ou décroît. Si les contraintes légales de conservation des documents doivent bien sûr être respectées, il faut aussi tenir compte de la valeur commerciale de l’information. Les courriels envoyés à une même date n’ont pas tous la même importance. Pour Todd Rief, directeur senior de la stratégie produit chez StorageTek (racheté par
Sun en 2005), « 90 % des données de la planète qui encombrent les centres informatiques sont de l’information répliquée dont plus de 80 % ne fait plus jamais l’objet d’aucun accès. Pourtant beaucoup de ces données sont stockées inefficacement sur le support le plus coûteux pendant une longue période ». Une information possédant de la valeur ne sera pas traitée de la même manière en terme de stockage. On veillera en particulier à ce que son accès soit aisé. On cherchera aussi à stocker les informations de moindre valeur sur des unités de stockage moins onéreuses.

L’ILM est donc le point de rencontre entre besoins métiers, besoins légaux, technologie de stockage et d’archivage, et optimisation des coûts.

La démarche ILM

L’application des concepts précédents permet de définir une démarche visant à appliquer des règles de stockage différentes selon la valeur de la donnée à sauvegarder ou archiver. Les règles de stockage et d’archivage sont donc définies en fonction des critères suivants :
· la valeur commerciale : elle est fonction de l’utilité de la donnée ;
· exigences de sécurité : intégrité, confidentialité et disponibilité des données ;
· exigences réglementaires sur les données ;
· temps d'accès aux données ;
· coût de stockage.

Remarquons que l’ILM va nettement plus loin que l’archivage, puisque l’on ne tient pas uniquement compte des contraintes légales et du critère date.

La mise en œuvre de l’ILM nécessite donc en amont une réflexion sur les objets de données que l’on souhaite traiter, pour définir les règles de stockage adéquates. A ce stade, l’adhésion et la compréhension des enjeux des détenteurs de données est essentiel.
L’étape suivante consiste à migrer les données sur les différents niveaux de stockage, et prévoir le circuit des futures données.
La mise en œuvre d’une solution d’ILM étant encore récente, il peut être opportun de rôder la démarche sur un périmètre restreint, puis de l’étendre progressivement selon le principe d’un pilote que l’on déploie après retour d’expérience.

Marché et acteurs

Comme pour toute nouvelle technologie, on entend dire ici et là que l’ILM serait un concept purement marketing visant à promouvoir et dynamiser le secteur du stockage.

En fait, l’ILM est bien plus qu’un discours marketing, car il apporte une méthodologie et une réponse aux problèmes engendrés par la prolifération des données. La démarche s’intéresse de près au couple besoins métier / coûts du stockage de l’information, et n’est donc plus uniquement appréhendée sous le seul angle technique. Si les grandes entreprises constituent actuellement le gros des clients, la problématique concerne aussi les PME.

Actuellement peu d’acteurs offrent une solution ILM globale. C’est la raison pour laquelle un certain nombre de fournisseurs, issus du monde du stockage pour la plupart, se sont alliés pour offrir des solutions ILM intégrées. Citons à titre d’exemple EMC et Outerbay Technologies, BMC Software et Princeton Softech, VERITAS et Network Appliance, ou encore StorageTek et divers partenaires.

En savoir plus :
- Fédération ILM Stockage Archivage (FEDISA)
- l'archivage élctronique à l'usage du dirigeant (publication FedISA / Cigref)

Source image 1 : www.dashertechnologies.com/ Source image 2 : www.01net.com

Internet en 95

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Un extrait de "Ca se discute" en 1995 où l'on parle d'internet.

Vu sur le web2zero.tv via Rmen's blog.

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Sympa cette initiative.
A vous de me trouver !!

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