Second Life et vous : résultats du sondage.
Libellés : Collaboration, Emergence, Second Life, Société, Sondages, Tendance, Web 2.0
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Le mot vient de la contraction des mots brailler (activité principale du blog) et log (journal d'un navire, en anglais).
Si on compare un hebdo régulier au journal du capitaine, le blog serait les grondements des abrutis qui doivent nettoyer le pont du bateau encore à cause de la merde que les hosties de goélands viennent d'y laisser, câlisse.
[modifier] On utilise les blogs pour:
Brailler de façon peu amusante des actualités
Brailler de façon peu amusante des banalités de la vie de tous les jours
Brailler de façon peu amusante des amis que, jadis, l'on avait
Poster une liste de choses « à faire » à cause qu'on ne se souvient plus de notre adresse électronique.
Brailler seul. Très seul.
Se rassurer en constatant que d'autres braillent encore plus.
Se faire des amis.
Pourrir les forums de la plateforme.
Montrer à tout le monde que sa vie est inintéressante.
Etre social
Donner à son ordinateur les photos de sa super boum d'hier apres-midi!!!
Mettre la liste de ses courses
Pouvoir demander à tout le monde de mettre des commentaires! C'est hyper important t'vois...
[modifier] Atouts nécessaires pour être un bloggeur:
Un ego épouvantable.
Une opinion sur tout.
Aucun lectorat.
Une orthographe calamiteuse.
Un QI avoisinant celui du Hamster (toutes races confondues) "
A ne pas prendre au premier degré bien entendu !
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Le résultat du test m'indique que je devrais changer de fournisseur d'accès, et vous ?
ILM (Information Lifecycle Management) : la synthèse.
Libellés : Data Management, Données, ILM, SOA, Technologie, Urbanisation
La réflexion se fonde sur la croissance du volume de données que les entreprises ne parviennent plus à maîtriser. Les entreprises constatent en effet un taux annuel de croissance de l’information compris entre 30 % et 70 %, qui ralentit les applications essentielles. Si les données structurées (bases de données, ERP, datawarehouse..) sont relativement bien gérées, avec des systèmes d’archivage ad-hoc, la nécessité d'optimiser la gestion des données non structurées est plus récent. L'ILM adresse donc en priorité les problématiques du cycle de vie des données non structurées (bureautique, applications GED, pages WEB, messageries électronique,…).
Autre idée clé : la notion de valeur de l’information. Au fil du temps, la valeur des informations s'accroît ou décroît. Si les contraintes légales de conservation des documents doivent bien sûr être respectées, il faut aussi tenir compte de la valeur commerciale de l’information. Les courriels envoyés à une même date n’ont pas tous la même importance. Pour Todd Rief, directeur senior de la stratégie produit chez StorageTek (racheté par Sun en 2005), « 90 % des données de la planète qui encombrent les centres informatiques sont de l’information répliquée dont plus de 80 % ne fait plus jamais l’objet d’aucun accès. Pourtant beaucoup de ces données sont stockées inefficacement sur le support le plus coûteux pendant une longue période ». Une information possédant de la valeur ne sera pas traitée de la même manière en terme de stockage. On veillera en particulier à ce que son accès soit aisé. On cherchera aussi à stocker les informations de moindre valeur sur des unités de stockage moins onéreuses.
L’ILM est donc le point de rencontre entre besoins métiers, besoins légaux, technologie de stockage et d’archivage, et optimisation des coûts.
La démarche ILM
L’application des concepts précédents permet de définir une démarche visant à appliquer des règles de stockage différentes selon la valeur de la donnée à sauvegarder ou archiver. Les règles de stockage et d’archivage sont donc définies en fonction des critères suivants :
· la valeur commerciale : elle est fonction de l’utilité de la donnée ;
· exigences de sécurité : intégrité, confidentialité et disponibilité des données ;
· exigences réglementaires sur les données ;
· temps d'accès aux données ;
· coût de stockage.
Remarquons que l’ILM va nettement plus loin que l’archivage, puisque l’on ne tient pas uniquement compte des contraintes légales et du critère date.
La mise en œuvre de l’ILM nécessite donc en amont une réflexion sur les objets de données que l’on souhaite traiter, pour définir les règles de stockage adéquates. A ce stade, l’adhésion et la compréhension des enjeux des détenteurs de données est essentiel.
L’étape suivante consiste à migrer les données sur les différents niveaux de stockage, et prévoir le circuit des futures données.
La mise en œuvre d’une solution d’ILM étant encore récente, il peut être opportun de rôder la démarche sur un périmètre restreint, puis de l’étendre progressivement selon le principe d’un pilote que l’on déploie après retour d’expérience.
Marché et acteurs
Comme pour toute nouvelle technologie, on entend dire ici et là que l’ILM serait un concept purement marketing visant à promouvoir et dynamiser le secteur du stockage.
En fait, l’ILM est bien plus qu’un discours marketing, car il apporte une méthodologie et une réponse aux problèmes engendrés par la prolifération des données. La démarche s’intéresse de près au couple besoins métier / coûts du stockage de l’information, et n’est donc plus uniquement appréhendée sous le seul angle technique. Si les grandes entreprises constituent actuellement le gros des clients, la problématique concerne aussi les PME.
Actuellement peu d’acteurs offrent une solution ILM globale. C’est la raison pour laquelle un certain nombre de fournisseurs, issus du monde du stockage pour la plupart, se sont alliés pour offrir des solutions ILM intégrées. Citons à titre d’exemple EMC et Outerbay Technologies, BMC Software et Princeton Softech, VERITAS et Network Appliance, ou encore StorageTek et divers partenaires.
En savoir plus :
- Fédération ILM Stockage Archivage (FEDISA)
- l'archivage élctronique à l'usage du dirigeant (publication FedISA / Cigref)
Source image 1 : www.dashertechnologies.com/ Source image 2 : www.01net.com
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