Décès de Paul Baran, l'un des fondateurs de l'Arpanet
Libellés : Histoire, Informatique, Internet, Paul Baran, Science
Uniserv élargit sa solution « On Demand » de gestion de la qualité des données
Libellés : Data Management, Données, Qualité, Qualité des données, Uniserv
Eclairage : en plus de pouvoir analyser, nettoyer et enrichir les fichiers d’adresses, il est maintenant possible de procéder à des contrôles de validation individuels en temps réel, lors de la saisie.
Google Music sur le point d'être lancé ?
Premier vol pour le SmartBird de la société Festo
Libellés : Festo, Incroyable, Insolite, Science, Smartbird, Technologie
Terje Sorgjerd et ses magnifiques aurores Boréales
Libellés : Aurore Boréale, Incroyable, Insolite, Photographie, Science, Terje Sorgjerd
LinkedIn passe la barre des 100 Millions de membres
Libellés : Carrière, LinkedIn, Réseaux sociaux, Web, Web 2.0
19 Mars 2011 : La super pleine Lune
La Lune fait le buzz : le 19 mars 2011, elle est à sa plus courte distance de l'année, et donc très lumineuse ; le reste n'est que mystification.
La nuit la plus claire de l'année
Juste après qu'elle se soit levée sur l'ouest de l'Europe le samedi 19 mars 2011, la Pleine Lune mérite votre attention. À 20 h 10, elle est à 356 577 km de la Terre : c'est sa plus courte distance de l'année. Et puisqu'elle est pleine, elle est très lumineuse !
Son éclat est 30% supérieur à celui de la Pleine Lune du 12 octobre 2011, l'une des dates de l'année où elle se trouve au plus loin de la Terre.
Si vous avez l'occasion de vous extraire de la pollution lumineuse citadine, glissez un livre ou un journal dans votre poche. En rase campagne (si la météo est de la partie), vous arriverez à lire même en pleine nuit !
Résultat d'Etude sur l'optimisation des processus métiers
Libellés : Dépenses informatiques, Markess, Processus Métier, Tendance
MARKESS International, société d’études spécialisée dans l’analyse de la modernisation des entreprises et administrations avec les technologies de l'information, annonce la parution de sa nouvelle étude multi-clients dédiée aux processus métiers et intitulée : « Amélioration & Automatisation des Processus d’Entreprise : Attentes et Solutions ».
En synthèse :
- L’amélioration et l’automatisation des processus figurent parmi les préoccupations majeures tant des dirigeants que des décideurs métiers et des responsables informatiques. Selon les décideurs interrogés, ce sont les processus métiers qui sont ciblés en priorité par leurs programmes ou projets d’amélioration et d’automatisation. Près de quatre processus métiers sont cités en moyenne par les décideurs.
- Des visions différentes entre dirigeants, décideurs métiers et responsables informatiques :
* Le dirigeant, qui a une vision orientée vers la performance, l’amélioration continue et le respect de la conformité. Il donne la priorité aux axes de progrès et aux tableaux de bord. Il a besoin de solutions de pilotage et de mesure de la performance ;
* Le décideur métier, qui a une vision opérationnelle. Il donne la priorité à la modélisation et à la méthodologie et fait porter son choix plutôt sur une solution « sur mesure » ;
* Le responsable informatique qui a une vision technique afin de satisfaire ses propres problématiques (automatisation, industrialisation, EAI, SOA, intégration, maintenance...). Il donne la priorité au choix technologique et à l'utilisation d'outils évolutifs.
- Des décideurs faisant appel à des offreurs aux profils variés et en quête de ROI : il s’avère que le marché de l’amélioration et de l’automatisation de processus voit intervenir des acteurs spécialisés des processus qui côtoient des offreurs généralistes ou spécialistes métiers (RH, CRM...), aux côtés d’autres prestataires dont les solutions sont dédiées à des domaines plus transverses comme la gestion d’information (ECM, EIM, document management), la dématérialisation, ou encore le pilotage (analytique, reporting...) et le décisionnel.
- la réussite des projets d’amélioration et d’automatisation des processus reste avant tout fortement conditionnée à l’implication du top management et aux retours sur investissement (ROIs) générés. C’est justement de tels ROIs que les offreurs de solutions doivent mettre en avant.
Comprendre les mots de la catastrophe nucléaire
Libellés : Centrale Nucléaire, Fukushima, Japon, Science, Technologie
What’s New With Blogger ?
Satellite Photos of Japan, Before and After the Quake and Tsunam
SXSW : Austin, ou la revanche des nerds
Du 11 au 20 mars se déroule à Austin, Texas, le festival SXSW (South By SouthWest). Devenu l’événement de référence lié aux nouvelles technologies aux États-Unis, il est le rendez-vous annuel des différentes communautés qui structurent le web: travailleurs indépendants, entrepreneurs, développeurs, penseurs des nouveaux usages ou designers. Cette année, OWNI a l’honneur de faire partie des finalistes du SXSW Accelerator catégorie “News Related Technologies”. Petite présentation du festival publiée initialement en mars 2010 sur French by South West.
Ils étaient petits et gros, on leur jetait des cailloux du fond du bus, maintenant c’est eux qui ont le pouvoir.
Une repartie désabusée et bienveillante lors du retrait des badges de mon confrère Hugues Sweeny, venu du Canada pour présenter avec moi des productions web natives dans la section « Movie » demain. Premières impression d’un geekland texan en train d’éclore, en cette première journée.
- Austin, c’est loin. La ville a le charme des capitales administratives (c’est le chef lieu du Texas), à savoir une taille familiale, et une absence totale d’ambition urbanistique. On est généreux avec l’espace, mais c’est un peu comme la neige en Finlande : on en a plein, donc on ne compte pas. Les lobbys d’hôtels ressemblent au palais de Ceaucescu, on marche des heures dans le moindre corridor. Dehors, les blocs sont disjoints. On a l’impression d’un downtown en pleine cambrousse. Passé les derniers buildings, la ville s’arrête, net. Après, on sait pas ce qu’il y a, et on saura pas parce-que c’est loin et qu’en Amérique on ne marche pas, ça fait suspect.
- Les américains sont les génies de l’organisation. C’est pareil que pour l’espace, on dirait que c’est naturel chez eux. Mais pour un européen, c’est très dépaysant. Il y a pléthore de volontaires qui vous orientent, vous canalisent, répondent à vos questions, et si vous n’avez pas de questions, que vous restez interdit devant un panneau pendant 2 secondes, ils vous demandent quand même si vous en avez une. La procédure d’enregistrement a pris environ 15 mn tout compris, retrait du sac promotionnel inclus.
- Tout ça est très casual. Tout le monde est assis pas terre, dans les halls, en train de déballer ses affaires, ou se connecter au Wifi. Qui marche, autre grosse différence avec d’autres évènements. Le Mac est roi (mais j’ai vu quelques stands égarés avec des Dell), et la moitié de la population déambule en mode tête baissée sur son mobile, pour raconter sa life sur Twitter. La moyenne d’âge est basse. Disons autour de la trentaine. Je me sens presque un vioque.
- La géolocalisation est le killer social tool. Pour s’en convaincre, jetez un œil au Pepsico Zeitgeist. Une syndication temps réel des flux provenant de Twitter, Foursquare, FlickR et SXSW. Il y a même un partenariat avec Gowalla. Je reste prudent avec mon mobile, car la note de roaming va me faire moins rire en rentrant. Ce qui me frappe, c’est la vitesse avec laquelle ces outils sociaux géolocalisés ont révolutionné le monde des conférences. Après Twitter (le backchannel ultime), la dimension géographique représente la clé d’entrée majoritaire du web en temps réel. Que ce soit pour trouver un bar a Guacamole ou l’endroit où a lieu le panel qu’on veut suivre.
Imaginez que votre vie dans les années qui viennent sera la même qu’avant, mais avec un GPS qui augmente votre perception de la réalité, et celle des autres sur votre situation.La notion de privacy, qui avait déjà bien morflé avec la disparition de la correspondance au profit de la publication (« hey, @machin, on se retrouve à 19h chez @bidule?« ) perd encore des pétales. Bientôt il ne restera que la tige. Pour des raisons légitimes, pratiques, excitantes et pleines de promesses.
Je ne suis pas de ceux qui grognent et regrettent. Mais je constate ces changements, partagé entre fascination, nostalgie, enthousiasme et indifférence.
- Profusion, abondance, pléthore. Pour se repérer dans le programme il y a un site, des programmes en papier, des applications iPhone. Avec la certitude qu’on ne pourra être partout. Pour suivre et commenter en temps réel, chaque panel a son tag. J’avais déjà constaté ça à Sheffield, et cela semble être une norme établie : un évènement comme SXSW a donc une hashtag policy, environ 300 hashtags différents, certains font 20 signes, et tout cela me laisse un peu dubitatif, mais bon.
- Crossmedia mais pas trop. En fait, SXSW c’est non pas un festival, mais trois : Film, Interactive et Music. Je suis intervenant sur un panel dans la section Film (alors que je suis venu parler des web documentaires et de la production web native), qui n’a pratiquement aucun recouvrement avec la section Interactive (programmes, lieux et participants différents). Ce qui est paradoxal c’est que la section interactive recèle beaucoup de débats sur la télévision, les journaux, le social media. Mais le cinéma et le documentaire semble avoir subi la loi d’airain d’une nomenclature impitoyable. Les geeks veulent bien parler du NYT, mais pas de Prison Valley. Reste à les convaincre pour l’an prochain.
Bon, je vais boire un café bizarre dans un grand gobelet en carton, et je fourbis mes tweets pour couvrir « Ten Commandements For The Digital Age » dans 45 mn
Experian QAS lance QAS Unify
Libellés : Data Management, Données, Experian QAS, Qualité des données
2,4 millions d’utilisateurs de Twitter en France
Libellés : Réseaux sociaux, Tendance, Twitter, Web, Web 2.0
Aujourd’hui, Twitter compte plus de 210 millions de membres, dont 2,4 millions d’utilisateurs en France selon une étude réalisée par Semiocast. Selon cette étude porté sur un échantillon de 52 millions de membres, la France se positionne en 17ème position, loin derrière les Etats-Unis, le Japon et le Brésil. En Europe, c’est le Royaume-Uni qui compte le plus d’utilisateurs de Twitter avec plus de 10,5 millions d’utilisateurs.
En outre, les résultats de cette étude montre qu’environ 8,9% des utilisateurs français protègent leurs tweets, c’est-à-dire qu’ils diffusent des messages qui ne sont pas visibles par tout le monde. Par exemple, le compte de Korben, qui compte plus de 21K abonnés, est actuellement protégé. En revanche, la France compte moins de comptes protégés que les Etats-Unis (10,7%). Il paraît que le Japon se situe à l’autre extrême, avec seulement 2% des utilisateurs qui bloquent leurs tweets.
A l’heure actuelle, 1,1% des utilisateurs de Twitter sont basés en France. Alors que la France semble peut-être un peu sous-représentée sur Twitter, il y aura surement une augmentation de l’activité et du nombre d’utilisateurs avec les élections présidentielles en 2012.
Via Techcrunch