Classement : audience des sites web en France

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Le Journal du Net vient de publier le classement d'audience Internet mensuel établi par Médiamétrie//Netratings à l'aide du panel Nielsen//Netratings.
Sans surprise, Google arrive en tête, suivi de Microsoft, et bien sûr de Facebook.

A noter la progression des Editions Aixoises Multimédia, l'éditeur du site de petites annonces Leboncoin.fr, qui gagne 800 000 visiteurs uniques en un mois, passant devant PriceMinister.

Les mots clés qui connaissent les plus fortes progressions sont 'caf.fr' (+187 %), pour la préparation de la rentrée et 'euromillion' (+177 %), grâce aux cagnottes de l'été (l'étude est faite sur le mois d'août !).

Innovation : encore mieux que l’iPad !

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Vu sur DOC NEWS

L'iPad n'a qu'à bien se tenir. Voici un eReader qui risque de concurrencer sérieusement le produit star d'Apple. En proposant non pas un mais deux écrans, ce projet rejette le format de lecture des tablettes classiques. Voici le livre numérique de demain.


Karim Zaouai, jeune designer français, a pour but de pousser la recherche et de créer des objets singuliers par leur esthétique et leur principe fonctionnel. Ses objets revisitent les archétypes en tentant d’apporter une dimension nouvelle, astucieuse et intuitive, tout en privilégiant l’utilisateur.
Alors que l'iPad, écran unique, marque une réelle rupture avec le livre en termes d'utilisation, ce projet se veut beaucoup plus proche de l'acte de lecture. En effet, Karim Zaouai ne cherche pas à réinventer notre rapport au livre (comme le fait Apple) mais bien à strictement transférer notre comportement. Ainsi, seul le support change.

On passe du papier au numérique mais d'un point de vue comportemental, aucun bouleversement ou presque. On ouvre et on referme l'eReader comme s'il s'agissait d'un véritable livre, ce qui le rend encore plus intuitif et maniable que l'iPad. Autre différence majeure, l'absence du tactile que Jonathan Ive et les designers d'Apple ont progressivement rendu incontournable.


Le projet présenté prend donc le contre-pied des “traces de doigts” grâce à un ingénieux système de molette latérale multifonctions : allumage, extinction, défilement des menus. Pour tourner les pages, on retrouve là aussi un geste que les “lecteurs traditionnels” connaissent bien puisqu’il suffit de légèrement basculer l’écran pour faire glisser les mots.Ainsi, son projet d'eReader ne possède pas un second écran seulement pour créer une différence utile. Il ne s'agit pas, en effet, d'un ajout "gadget" permettant de se distinguer sur un marché toujours plus concurrentiel. Au contraire, ce double écran est le résultat d'un questionnement sur notre rapport entre le numérique et l'analogique.

E-Commerce 2010 : Inscrivez-vous gratuitement !!

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La 7e édition du salon E-Commerce Paris s’annonce extrêmement dense. Alors que les participants préparent leurs annonces et lancements majeurs, les visiteurs s’apprêtent à découvrir les innovations-phare du secteur. Et les organisateurs peaufinent les temps forts d’un programme révélateur des tendances 2010 du marché.

Pour vous inscrire GRATUITEMENT, cliquez sur l'image ci-dessous :


Du 21 au 23 septembre prochains, 550 exposants professionnels du e-commerce, 350 conférenciers et 25.000 visiteurs sont attendus à Paris sur cet immense plateau de 25 000 m2 du Pavillon 7.3 de la Porte de Versailles.

Le dilemme du cloud : quel cloud pour quel besoin ?

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Par Dipto Chakravarty, Novell.


Le Cloud Computing se trouve à présent au cœur des réflexions de nombreuses entreprises. Si vous avez commencé à vous plonger dans ce nouveau modèle informatique, vous avez certainement découvert qu’il existe différents types de clouds, et qu’une solution ne se limitera pas à un seul cloud. L’une des tendances les plus marquées que nous constatons aujourd’hui au sein des entreprises réside dans l’adoption de clouds privés. En quoi consiste un cloud privé, et comment s’intègre-t-il à votre avenir ?

Le NIST (National Institute of Standards and Technology) propose une définition des clouds qu’il est utile d’examiner. Les déploiements de clouds sont au nombre de quatre :

· Cloud public. Comme le nom le sous-entend, ce type d’offre de cloud est généralement disponible via Internet avec des services destinés à un nombre virtuellement illimité de clients sur la même infrastructure. Les offres de clouds publics les plus connues, comme celles d’Amazon, Rackspace, Salesforce.com, Microsoft et Google se concurrencent pour fournir une large gamme de services informatiques et d’applications professionnelles.


· Cloud privé. Ce type de cloud est spécifiquement conçu pour une seule organisation, telle qu’une institution financière ou un organisme public. En général, l’organisation tire parti de la technologie pour virtualiser les systèmes d’exploitation et les réseaux, ce qui peut se traduire par une réduction du nombre de serveurs et de périphériques réseau, ou au moins une rationalisation de leur gestion.


· Cloud communautaire. Ce type de cloud est créé pour un nombre limité et bien précis d’entités. Une chaîne logistique ou une association de plusieurs organismes publics rentrent bien dans le cadre des applications de ce type de cloud.


· Cloud hybride. Définit une combinaison de plusieurs des types de clouds précédents, qui sont intégrés selon une méthode donnée pour permettre la communication qu’impliquent certaines activités économiques. Un utilisateur peut avoir besoin d’accéder à différents clouds avec un seul jeu d’identifiants, des données doivent circuler entre des clouds, ou une application de cloud privé peut nécessiter un accès temporaire à des ressources de cloud public (concept de « cloud bursting »).

Pour établir une stratégie de Cloud Computing, de nombreuses entreprises ont été limitées de par le passé à comparer les clouds publics et privés. Il s’agit d’un bon point de départ. Les grandes entreprises ont au fil du temps bâti des architectures, systèmes et processus informatiques relativement sophistiqués. Ce réseau « interne » offre un environnement permettant d’envisager un cloud privé, alors que les concepts d’externalisation permettent d’envisager la migration de systèmes vers un cloud public. Lorsqu’elles comparent à présent les clouds publics et privés, les entreprises doivent considérer les critères clés suivants :


· Coût - Quel type de cloud est le plus rentable à court terme et/ou long terme ?


· Sécurité – Quel est le degré de sécurité d’un cloud public par rapport à une solution interne, et quels sont les risques pour mon entreprise ?


· Conformité – Suis-je en mesure de prouver la conformité aux obligations réglementaires si j’utilise un cloud public ?


· Gouvernance – Quelle est la nature de la visibilité dont je dispose sur la technologie et les pratiques commerciales d’un fournisseur de cloud public, et existe-t-il des outils pour superviser ce fournisseur ?

De nombreuses entreprises envisagent à présent de déployer des clouds privés tout en utilisant certains services de clouds publics. Les processus décisionnels en termes d’organisation diffèrent toutefois, car d’aucuns peuvent recourir à des processus décisionnels sophistiqués intégrant les risques, alors que d’autres se contenteront d’étudier le coût pour déterminer le type de service informatique couvert par chaque modèle de déploiement de cloud. Les clouds privés gagnent en intérêt car ils permettent de bénéficier de certains avantages du Cloud Computing tout en conservant un degré de contrôle. À long terme, il s’avère peu probable que les entreprises pourront concurrencer les synergies des fournisseurs de clouds publics. À court terme, le déploiement des clouds privés risque de s’avérer en fait plus long car les entreprises devront traiter le problème des données très sensibles et des systèmes stratégiques.

Les clouds privés ET publics représentent sans conteste une dimension de l’avenir de l’entreprise.


Bienvenue dans le monde des clouds hybrides, et des principales normes de gestion des identités qui vont en ouvrir les portes.

Etude mondiale sur les comportements d'achat des e- consommateurs

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Olesia Klevchuk, analyste Forrester, vient de publier une nouvelle étude sur les comportements d’achat des e-consommateurs dans le monde, basée sur un sondage auprès de 60 000 consommateurs en ligne, dans 13 pays différents. En voici les principales conclusions :

· Internet est devenu un important circuit de distribution, rassemblant des millions de e-consommateurs dans le monde.

· Les marchés asiatiques comme la Corée du Sud ou le Japon sont les premières nations en matière d’adoption du shopping online, comme pour beaucoup d’autres activités sur le Net. Presque tous les consommateurs sud-coréens et japonais achètent des produits sur le Net : respectivement 93% et 89%. En France, par comparaison, ils sont 57%.

· Mais le taux d’adoption du shopping sur Internet ne reflète pas toujours le montant des dépenses sur le web. Les consommateurs nord-américains, par exemple, sont parmi les champions du monde du montant de dépenses en ligne par personne, alors que le nombre d’e-acheteurs est relativement faible, comparé aux autres marchés. Un acheteur en ligne sud coréen va dépenser en moyenne 725 dollars par trimestre sur le Net, pour acheter des vêtements et des livres. Les Français dépensent quant à eux 270 dollars par trimestre, en moyenne.



· Les livres, les voyages et les vêtements sont en tête de liste des produits les plus populaires sur le Net. En Europe, les Britanniques sont les plus gros dépensiers, particulièrement en livres et DVD. Les Français achètent majoritairement des vêtements et des livres. Le fait que les livres et les voyages soient les plus populaires n’est pas surprenant compte tenu du fait que Internet offre plus de choix dans ces catégories que n’importe quelle boutique physique.

· Le niveau de fidélité des consommateurs vis-à-vis des marques impacte le montant que ces derniers dépensent sur Internet ; les consommateurs les plus fidèles sont les plus dépensiers. 51% des e-consommateurs français, se déclarant fidèles à une marque, affirment qu’ils seraient prêts à dépenser plus pour économiser du temps et du stress, alors que les Français qui font attention aux prix sont seulement 34% a déclarer vouloir en faire autant. Bien que dans la plupart des marchés, le niveau d’adoption du shopping sur Internet ne diffère pas beaucoup entre les consommateurs fidèles et ceux qui surveillent les prix, le montant dépensé varie quant à lui.

 

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