Risques perçus et risques réels

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Le schéma suivant est éloquent : notre perception des dangers est totalement en décalage avec les risques réels.

Selon Susanna Hertrich, ce delta est dû au fait que les humains ont perdu leur instinct naturel à percevoir les véritables dangers.

Sa solution ? Une sorte de harnais appelé "Alertness Enhancing Device" (AED) que l'on peut porter et qui stimule la chair de poule et les frissons au point de dresser vos cheveux en cas de danger.

Analyse du marché publicitaire

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Partant de l'observation des caractéristiques historiques de l'organisation du marché publicitaire, de son fonctionnement et de ses objectifs, la nouvelle étude publiée par l'IDATE présente les nouvelles formes de publicités, propose une analyse des atouts des nouveaux supports de communication publicitaire que sont le Web 2.0 et le mobile, et s'intéresse à la capacité d'adaptation et de réaction des médias traditionnels.


Internet: un média en pleine expansion

Comptant désormais quelque 750 millions d'utilisateurs dans le monde, passant en moyenne 11h20 par semaine en ligne (pour un internaute européen en 2006 – Source : EIAA), Internet est incontestablement devenu un média de masse. A ce titre, il attire un nombre croissant d'annonceurs publicitaires et connaît des taux de croissance spectaculaires.

Ainsi, les investissements publicitaires sur Internet devraient croître de 76% au niveau mondial entre 2006 et 2009, alors qu'ils ne devraient progresser que de 16% en télévision et de 9.5% en presse. Dès 2009, Internet devrait devenir le troisième support média derrière la presse et la télévision.

Le mobile: un potentiel élevé mais encore sous utilisé

Avec 3.25 milliards d'usagers à la fin 2007, le portable est aujourd'hui un des objets personnels les plus possédés au monde. Dans de nombreux pays développés, le nombre des utilisateurs du mobile dépasse même celui de la télévision, de la radio et de l'Internet, et sa durée d'usage est en constante progression (de 119 mn par mois par utilisateur européen en 2002 à 153 mn début 2007).

En dépit de ses nombreux atouts, le mobile représente aujourd'hui moins de 1% des dépenses publicitaires des annonceurs, et ce malgré une progression de 75% entre 2006 et 2007. De plus, les investissements sur le mobile sont extrêmement localisés, le Japon captant 53% des investissements mobiles et les Etats-Unis 27%.

Il est vrai que pour décoller, les investissements publicitaires sont encore dans l'attente d'une pénétration massive des terminaux 3G/3G+ ainsi que du développement des usages réels, ce qui passera probablement par une tarification appropriée et par des services adaptés aux usages mobiles. Les annonceurs attendent en effet que l'audience de l'Internet mobile devienne significative avant d'investir massivement.

Le trafic Skype passe la barre des 100 milliards de minutes !

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Une barre symbolique est franchie !
Les 276 millions d'utilisateurs enregistrés de Skype à travers le monde ont généré un trafic de plus de 100 milliards de minutes (100.000.000.000) via des appels gratuits voix et vidéo de Skype à Skype depuis le lancement de Skype en 2003.

Ce chiffre ahurissant correspond à une minute de conversation gratuite pour chaque humain ayant jamais vécu sur Terre.
Pour pousser plus loin la comparaison, Skype n'est disponible sur le marché que depuis environ 4 années et demie (environ 2.365.200 minutes). Mais dans le même temps le volume de conversations Skype correspond à plus de 69.444.444 jours (plus de 190.258 années). Donc si l'on remonte 150.000 ans en arrière, si un mammouth et un tigre préhistorique avaient commencé à discuter entre eux sur Skype, ils parleraient encore aujourd'hui, et il leur resterait encore 40.258 ans avant de raccrocher !
Il a fallu à McDonalds près de 40 ans pour servir 100 milliards de hamburgers. Mais un peu plus de 4 ans seulement ont suffi à Skype pour atteindre la barre des 100 milliards de minutes gratuites.
Renversant, non ?

Facebook va se ringardiser comme une boîte de Palavas

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Article qui ne laisse pas indifférent, lu sur Rue89.
"Oui, nous aussi on entend parler de la croissance spectaculaire de Facebook.
64 millions d’utilisateurs dans le monde, soit deux fois plus qu'il y a un an. Mais ne nous laissons pas impressionner par les chiffres. Même ce roi de la nuit qu'est Bill Gates vient de quitter Facebook. Souvenons-nous de Friendster. Il y a cinq ans, ..."

Lire la suite :
Facebook va se ringardiser comme une boîte de Palavas Rue89
(Source Photo : Rue89)

Music Technology Links

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L'essentiel de la musique sur le Web.
Il manque juste Deezer

Ski extrême

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Ne cherchez surtout pas les imiter, car ces skieurs sont fous !!

Etude : Le consommateur face à l'e-mailing

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Voici les principales conclusions de la thèse réalisée par Andréa Micheaux, directrice associée d’A.I.D (Analyse Informatique des Données) et maître de conférence à Paris 1, sur le thème de la “perception et du comportement du consommateur face à la pression des campagnes d’e-mailings”. Cette thèse a été primée par le Cercle du Marketing Direct, prix spécial catégorie thèse 2007.

- Conformément aux attentes, l’objet s’avère déterminant : l’objet non publicitaire fait massivement ouvrir mais moins cliquer et davantage se désabonner que l’objet publicitaire. Par ailleurs, cliquer préserve du désabonnement.
- L’émetteur personnalisé (murielle@marque.fr) fait ouvrir et diminue les désabonnements.
- La pression commerciale a un effet significatif sur le taux d’ouverture : plus un individu a reçu d’e-mails de la part d’un annonceur, moins il les ouvre.
- En revanche, plus un individu a reçu de messages, moins il est probable qu’il se désabonne. En effet, les consommateurs ont eu tendance à se désabonner dès les premiers messages.
- La pression perçue s’est avérée être indépendante de la pression réelle. Mais elle a un effet sur le désabonnement : plus le score de pression perçue est élevé, plus la probabilité que le consommateur se désabonne augmente.
- Les résultats démontrent que le format créatif agit directement sur le désabonnement : les destinataires d’un e-mail publicitaire, facile à décoder qui annonce la couleur, se désabonnent moins que les destinataires d’un e-mail nécessitant un effort et dont les attentes auront pu être déçues.
- Si un emailing est jugé pertinent, le format créatif n’a pas d’impact sur la perception de la pression ou le désabonnement. En revanche, pour les personnes qui ne sont pas intéressées par le message, le format créatif a un effet direct sur l’irritation et sur le désabonnement.
- Ceci implique qu’en matière de gestion de la pression, l’effort créatif doit porter sur les individus qui ne font pas partie du coeur de cible de la marque, alors que les annonceurs ont tendance à se focaliser sur leur coeur de cible.
- Par ailleurs il est important d’agir sur la perception individuelle de la pression car c’est la perception qui a un effet sur le désabonnement, or aujourd’hui la plupart des annonceurs ne gèrent que le nombre d’envois et ne tiennent pas compte du point de vue du client. Le consommateur laisse des traces comportementales sur la base emailing que l’annonceur peut gérer afin de minimiser la perception de la pression.

Le marché de la communication sur les blogs

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Voici une excellente synthèse réalisée par le JDN sur le marché français des agences de communication spécialisées dans la mise en relation entre les marques et les blogs.

"Avec un marché estimé à 9 millions d'internautes qui consultent des blogs en France, les annonceurs sont pressés d'intégrer les blogs dans leurs plans médias, sans toujours savoir comment faire. De quelle manière les agences spécialisées peuvent-elles répondre à leurs besoins ? Comment fonctionnent-elles ? Quelles sont leurs offres ? Que peut-on attendre d'une campagne de communication sur les blogs ? Panorama des offres et analyse du marché."

Croissance record pour DataFlux en 2007

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DataFlux, fournisseur leader de solutions d’intégration et de qualification des données, annonce un taux de croissance record au terme de son exercice fiscal 2007, avec pour la septième année consécutive un indice à deux chiffres. Le chiffre d’affaires de la société a en effet connu une croissance supérieure à 30% sur cet exercice, en raison notamment d’un intérêt de plus en plus grand des entreprises en faveur de solutions capables de répondre à leurs objectifs de gouvernance des données, de mise en conformité, de gestion des risques et de MDM.

En 2007, les entreprises et organisations ont continué à rechercher de nouveaux moyens leur permettant de valoriser au maximum leurs données. Compte tenu de la masse d’informations numériques existantes et de leur croissance exponentielle, les entreprises se tournent en effet davantage vers des initiatives de gouvernance des données, mettant en œuvre un cadre d’application des standards, afin d’acquérir une vision plus unifiée des clients, produits, employés, ou encore de toute autre catégorie de données stratégiques.

Tony Fisher, Président et CEO de DataFlux, déclare à cette occasion :
« DataFlux a de nouveau renforcé sa position de leader en 2007, en répondant aux points critiques des clients via la mise en œuvre de nouveaux accélérateurs leur ayant permis de rapidement faire face à la gestion de leurs données stratégiques. Les pressions engendrées par la concurrence et les évolutions de marché imposent aux entreprises, pour rester compétitives, de développer une nouvelle vision unifiée de leurs ressources numériques. DataFlux y répond en leur proposant des solutions capables de supporter toutes les initiatives de gouvernance des données et de MDM. »

Sur la base des résultats enregistrés en 2007, DataFlux compte poursuivre ses efforts en matière de gouvernance, pierre angulaire de toute stratégie d’entreprise axée sur la gestion des données. Dans un contexte économique global qui continue à ralentir, les entreprises doivent mieux encore tirer parti de leurs ressources et investissements informatiques. En leur permettant de gérer et de contrôler les données exploitées par l’ensemble de leurs applications, DataFlux leur donne les moyens de transformer leurs données en un vecteur de valorisation permanente de leurs activités.

Le marché des ERP en France en bonne santé

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(source PAC)

Selon la dernière étude de Pierre Audoin Consultants (PAC), le marché des ERP s'est très bien porté en France en 2006 et 2007. Sur la seule année 2006, une croissance de 7,9 % pour un volume de 3,6 milliards d'euros a été enregistrée.
Si les « core systems » sont globalement déployés (Comptabilité / Finances, RH) dans les grands comptes, diverses fonctionnalités restent à installer. Le marché des PME est quant à lui actif et constitue un nouveau relais de croissance pour les éditeurs d’ERP.
On notera une tendance à la concentration des différents acteurs. SAP représente à lui seul pratiquement 50 % du marché.
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Autres articles en rapport :

Jeux Vidéo sur téléphone mobile : un marché de 6.5 Milliards EUR d'ici 2012

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Le jeu vidéo sera d'ici cinq ans une des applications les plus prisées par les possesseurs d'un téléphone mobile.

En 2012, la vente de jeux vidéo téléchargés devrait générer selon l'IDATE des revenus de 3.3 milliards EUR sur les trois principaux marchés du jeu vidéo (Europe, Etats-Unis et Japon) et 6.5 milliards EUR dans le monde.

Des marchés hétérogènes mais prometteurs

L'hétérogénéité des marchés s'explique par les différences culturelles, d'usages, de goûts, de langue... Mais elle s'exprime également au travers des différences technologiques dans les réseaux de télécommunications avancés et leur déploiement, des modèles économiques en vigueur entre fournisseurs de contenus et opérateurs de télécommunications, des environnements de développement et de système d'exploitation plus ou moins standardisés.

- La 3G est déjà très largement répandue au Japon et en Corée du Sud. Elle est de plus en plus associée à des forfaits données illimités libérant la navigation sur l'Internet mobile. Les débits et le déploiement de modèles tarifaires profitent au développement de services en ligne et à la distribution de contenus. Le jeu n'échappe pas à la règle. Au Japon et en Chine au moins, les modèles économiques sont assez favorables aux fournisseurs de contenus, et les catalogues sont très fournis.

- Le marché européen est marqué par sa fragmentation technologique et culturelle. Les acteurs de l'édition et du développement affectent au portage de jeu sur les terminaux ainsi qu'aux tests, près de deux-tiers du budget de développement. Le portage s'effectue au mieux sur 1 000 terminaux différents. A cela s'ajoute la localisation (traduction et adaptation) des titres en fonction des objectifs de commercialisation dans les pays d'Europe.

- Le marché nord-américain, à l'instar du marché japonais ou du marché sud-coréen, offre davantage d'homogénéité. Trois opérateurs majeurs proposent un catalogue varié, commercialisé principalement par l'abonnement. Le système d'exploitation Brew fonctionne comme un environnement standardisé qui facilite le développement de contenu et son adaptation aux terminaux.

Le téléphone devient un terminal de jeu vidéo

Au niveau du hardware, trois éléments sont fondamentaux pour le développement des jeux sur le téléphone mobile.

- Les capacités de stockage : elles sont indispensables, étant donné la taille grandissante des applications et notamment des jeux vidéo traditionnels en 3D. La mémoire Flash est un recours déterminant à cet égard.

- L'affichage 3D : Il favorise l'immersion dans le jeu. En outre, le rendu graphique est un des principaux déclencheurs d'achat. Encore largement logiciel, il devrait progressivement s'imposer sur les téléphones mobiles par l'implémentation d'une puce dédiée. L'année 2008 devrait marquer le déploiement de ces téléphones nouvelle génération.

- La puissance de calcul : les jeux vidéo recourant aux calculs temps réels nécessitent une puissance conséquente. La prochaine génération de téléphones mobiles développera une puissance équivalente à celle d'une Playstation de première génération améliorée. Son déploiement prendra entre 24 et 36 mois, temps que les éditeurs de jeux vont mettre à profit pour étoffer leurs catalogues de titres, tirant partie des dernières avancées technologiques.

Perspectives IT dans le secteur public

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MARKESS International, société d’études et de conseil basée à Paris et à Washington, D.C., spécialisée dans l’analyse des technologies de l’information et de leurs impacts sur les organisations privées et publiques, annonce les résultats de sa dernière étude intitulée « Bilan et Perspectives des Logiciels et Services IT dans l'Administration Française, 2007-2009 ».

Le marché devrait croître de +6,1% par an entre 2007 et 2009 pour atteindre 7 070 millions d’euros avec une dynamique légèrement plus forte pour les logiciels/progiciels que pour les services.

L’analyse de 250 nouveaux projets IT prioritaires sur la période 2008-2009, liés à la modernisation et à la mise en oeuvre de nouvelles infrastructures ou applications et mis en avant par une centaine de responsables d’administrations centrales et d’organismes publics interrogés, montre notamment que :

· Les projets de gestion des contenus dématérialisés, regroupant la numérisation des documents, la GED (Gestion Electronique de Documents) et les moyens de publication de ces contenus arrivent en tête avec un volume de 13% des projets identifiés ;
· Les projets d’infrastructures se positionnent en seconde place avec 10% des projets identifiés et reviennent ainsi en force en 2008 ;
· Les projets liés à la gestion des ressources humaines, qui gravitent autour des grands projets SIRH lancés ces dernières années par l'ensemble des administrations centrales, se stabilisent à 9% de l’ensemble des projets ;
· L’archivage électronique et le stockage arrive aussi en troisième position avec 9% des projets identifiés ;
· Les projets liés à la sécurité prennent plus d’ampleur. Ils représentent en effet 8% des projets identifiés contre 5% l’année précédente ;
· Les projets liés aux applications de gestion et de production se stabilisent à 7%. Ces projets reflètent la diversité des métiers présents au sein des administrations et la volonté d’améliorer leur gestion ;
· Le traitement et la diffusion de données arrivent dans les mêmes proportions (7%), ainsi que les applications décisionnelles et de pilotage. Ces deux domaines sont complémentaires. Ils interviennent dans un contexte où les besoins en terme de pilotage prennent une place de plus en plus importante au sein des différents services de l’administration où la culture de la performance est déployée progressivement.
 

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