Grâce à internet, les marques produisent désormais du contenu sur le Web et modifient en profondeur le business model traditionnel des métiers de la communication.
Les blogs, les portails dédiés, SecondLife ou la WebTV permettent aux marques de s'engager dans une relation directe avec les consommateurs. Récemment la vache qui rit s'est illustrée avec un site particulièrement réussi.
Les blogs, les portails dédiés, SecondLife ou la WebTV permettent aux marques de s'engager dans une relation directe avec les consommateurs. Récemment la vache qui rit s'est illustrée avec un site particulièrement réussi.
Pour son nouveau rasoir 3 lames, Bic a fait le choix de consacrer l'intégralité de son effort de commmunication média à internet en misant sur 200 blogueurs influents.
De grandes marques du luxe telles que Dior, Lancôme ou Jean-Paul Gaultier ont très méthodiquement investi l'univers virtuel de Second Life.
L'entreprise de spiritueux Bacardi a quant à elle lancé sa propre radio, B-Live, et propose de la musique en téléchargement sur les mobiles.
Les exemples pourraient ainsi être multipliés à l'infini, preuve que le Web a bousculé l'univers traditionnel de la communication.
Dans un récent article des Echos, Laurent Habib, le Président d'Euro RSCG C&O (Havas) soulignait une fragilisation des médias et des agences classiques. Selon lui, « La mutation qui s'amorce est équivalente au passage de l'argentique au numérique pour Kodak, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une mutation d'une importance totale, impossible à réussir si l'on se contente de «bidouiller» des filiales ou des départements nouveaux. »
Dans un récent article des Echos, Laurent Habib, le Président d'Euro RSCG C&O (Havas) soulignait une fragilisation des médias et des agences classiques. Selon lui, « La mutation qui s'amorce est équivalente au passage de l'argentique au numérique pour Kodak, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une mutation d'une importance totale, impossible à réussir si l'on se contente de «bidouiller» des filiales ou des départements nouveaux. »
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire